La pratique de la lectio divina

Qu’ils s’en nourrissent dans la méditation personnelle, qu’ils se rassemblent pour la scruter en groupe, qu’ils suivent des formations bibliques, une soif profonde de l’Écriture habite de nombreux chrétiens. Plus de quarante ans après la promulgation de la Constitution conciliaire Dei Verbum, alors que les travaux relatifs à la Bible (exégèse, herméneutique, théologie fondamentale) continuent d’être abondants, le temps – le « temps favorable » que donne Dieu – est sans doute venu de recueillir les fruits de tout cela pour les faire davantage goûter dans le Peuple de Dieu. C’est dans ce contexte que l’on peut se réjouir du synode des évêques, célébré du 5 au 26 octobre 2008 et dont le thème a été : « la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Église ». C’est dans ce contexte aussi que beaucoup de croyants s’intéressent à la lectio divina. Cette antique pratique, issue de la vie monastique, permet de se nourrir de manière approfondie et personnelle de l’Écriture dans son intégralité. Plusieurs publications en ont déjà proposé une initiation 1. Cet article ne les remplacera pas ; il y recourt et invitera à le faire. Il voudrait simplement donner le désir de s’aventurer sur le chemin de la lectio en en donnant quelques repères pratiques. Comme pour tout ce qui concerne l’expérience spirituelle, à chacun ensuite de trouver sa propre route !

Précisons ce que nous entendons par lectio divina. On traduit souvent par « lecture priante de la Parole de Dieu ». L’adjectif divina demande en effet une double traduction, car il concerne l’objet de la lecture (l’Écriture) et son esprit (il s’agit d’une certaine manière de lire et de se situer vis-à-vis de l’Écriture). En fait, d’une manière large, nous pourrions dire que toute parole qui retentit en nous et nous transforme est de l’ordre de la lectio divina : la lectio est fondamentalement une écoute et la Parole en question peut provenir de sources diverses. Mais ici, nous prendrons ce terme au sens d’un exercice spirituel qui consiste à lire un texte biblique dans un cadre précis dans le but de faire l’expérience du Seigneur.

Comme tout ce qui a rapport à la prière, on répugne à parler de méthode et pourtant des points de repère peuvent être utiles. C’est ce que veut donner cet article. Avant cela, commençons par trois préliminaires.

Un certain cadre

D’abord, concernant le lieu de la lectio divina, tout lieu propice au recueillement convient. Mais signalons que l’oratoire n’est pas l’endroit « obligatoire ». La chambre (le bureau, la cellule) sera même l’endroit habituel de la lectio, ce qui permet le recours souvent profitable à divers ouvrages (dictionnaire, concordance). Bien sûr, on veillera à ne pas s’encombrer pour éviter d’inutiles distractions. Certains seront aidés par une icône, un cierge, un lutrin signifiant la présence du Seigneur.

Il est ensuite utile de réfléchir sur le cadre temporel de sa lectio : son moment dans la journée, sa durée. Chacun bien sûr fait ce qu’il peut et il n’y a pas de petits moyens que le Seigneur ne féconde. Mais il est vrai que l’expérience de la lectio divina demande une certaine durée et une certaine régularité que chacun trouvera dans le rythme de sa journée, de sa semaine ou de son année. Si le rythme quotidien n’est pas toujours possible – si souhaitable soit-il – les moments plus favorables qui jalonnent notre vie sont à saisir. Il est par ailleurs important d’avoir une attitude gratuite par rapport au temps consacré à la lectio : l’expérience compte autant que ses résultats pour autant que ceux-ci puissent être mesurés. Ainsi, évitera-t-on de se donner des objectifs de lecture trop serrés.

Enfin, dernier préliminaire important, le choix des textes bibliques demande là aussi rigueur et souplesse. La lecture en continu de livres bibliques est une expérience hautement profitable que seule la lectio divina offre véritablement – les lectures de la messe en semaine ou la lecture biblique de l’office des lectures qui ont cette perspective ne la font pas vivre aussi complètement. Pour le choix de ces livres, les critères sont nombreux, l’ordre biblique étant certainement le plus mauvais. La liturgie induit de nombreuses propositions. Certains livres ont une attribution classique : le prophète Isaïe pour l’Avent ou les Actes des Apôtres durant le Temps Pascal. Le cadre liturgique pourra par ailleurs suggérer une idée de lecture (par exemple commencer le livre d’Amos durant la treizième semaine des années paires) qui sera poursuivie durant plusieurs semaines, indépendamment cette fois de la répartition liturgique. On pèsera aussi l’équilibre, au cours de notre vie, des divers livres bibliques que nous lisons. Prendre le temps de méditer des livres de l’Ancien Testament est une expérience privilégiée de la lectio divina. Mais tous les livres n’ont pas la même importance. L’Évangile a bien sûr une place centrale ainsi que le Nouveau Testament. Sans se disperser pour autant, « avoir toujours un psaume sur le métier » est très nourrissant ; on pourra le retrouver entre deux livres bibliques ou pour faire une pause quand notre lectio s’avère difficile. Si la lecture continue n’est pas possible, il est certain que le « programme » scripturaire de la messe dominicale ou quotidienne offre un parcours largement varié et profitable.

Un dernier point mérite d’être souligné : le choix de sa Bible. Pour une pratique régulière de la lectio divina, il est important d’avoir une « bonne » et « vraie » Bible, c’est-à-dire une Bible complète et dont la traduction et les notes permettent une lecture approfondie. Bien sûr, le recours à diverses Bibles (donc diverses traductions) est fructueux mais il est bon de se trouver une Bible de référence.

Trois (ou quatre) étapes

Une pratique éprouvée et une réflexion sur les divers sens de l’Écriture ont conduit plusieurs auteurs médiévaux à une présentation structurée de la lectio divina en quatre étapes : lectio, meditatio, oratio et contemplatio. La Lettre sur la vie contemplative de Guigues II le Chartreux (1188) en est un témoin souvent cité, tout comme la Lettre d’or de Guillaume de saint Thierry. Nous retrouvons une trace de cela dans un avis de saint Jean de la Croix : « Cherchez en lisant et vous retrouverez en méditant ; appelez en priant et l’on vous ouvrira dans la contemplation » (n° 156) 2. La dernière étape est souvent la partie faible des méthodes de lectio divina (et pour cause), elle est au-delà de toute méthode, don gratuit et imprévisible ! Sans renoncer bien sûr à la perspective ultime de la lectio, nous préférons présenter ici trois moments dans la pratique de la lectio, tout en précisant que ceux-ci ne sont pas à comprendre de manière rigoureusement chronologique.

L’Épiclèse

Avant tout, quand le choix du livre (ou du texte) biblique est fait, quand le lieu et l’horaire sont fixés, la mise en présence du Seigneur est (en toute rigueur chronologique ici !) la première étape. Chacun trouvera la manière de vivifier sa foi en la présence du Seigneur dans son cœur et en la puissance efficace de sa Parole et d’invoquer l’Esprit Saint : recueillement silencieux, prière vocale inspirée par exemple par des textes de l’Écriture (Is 55,10-11, des versets du psaume 118 etc.). Là est la porte d’entrée dans la lectio dont le but n’est pas l’acquisition de connaissances mais la rencontre avec le Seigneur, dans un climat de recherche et de dialogue. Comme dans l’expérience de la prière silencieuse à l’école des maîtres du Carmel, cette étape préliminaire est incontournable.

La lecture comme écoute et examen. Ce que dit le texte

On craindrait d’être tautologique en disant que la lectio commence avec la lecture 3 ! Pourtant cette phase n’est pas l’antichambre de l’expérience : elle en fait pleinement partie. Autrement dit, il s’agit en profondeur, et donc dans une certaine durée, de découvrir un texte tel qu’il est, de s’en imprégner. On le lira et le relira, éventuellement à voix haute, on pourra le recopier au moins partiellement. Cette étape a une dimension passive et active. Elle est d’une part écoute, avec tout ce que cela requiert comme attitude d’ouverture et d’accueil. Elle est d’autre part examen, ce qui fait appel à toutes les facultés de notre être (la sensibilité, la mémoire et pas seulement l’intelligence). Chacun constituera sa « boîte à outils » qui, à la manière de certains logiciels informatiques interactifs, évolue au fur et à mesure de sa pratique. Ne nous croyons pas sous-outillé !

L’outil des langues est premier. Si on a des rudiments de langue biblique (grec ou hébreu), on pourra bien sûr recourir au texte biblique dans sa langue originale, ce qui lui donne souvent une force et une saveur inégalables. Il ne s’agit pas nécessairement d’être autonome : en s’aidant d’un dictionnaire et en repérant les mots-clefs, on pourra apprécier certains éléments du vocabulaire. Sinon, le recours à d’autres traductions (le latin de la Vulgate, les langues courantes ou diverses traductions françaises qui ne manquent pas et que l’on pourra comparer entre elles) est souvent éclairant et permet de repérer les points délicats de traduction. L’outil de la grammaire est incontournable. Il s’agit d’observer le vocabulaire (les mots rares, les mots récurrents), d’établir une structure du texte. Pour ce faire, on s’appuiera plus sur les mots du texte (mots-clefs, mots de liaison) que sur ce que l’on croit être les « idées du texte » et qui sont souvent les nôtres. « L’idée » du texte (son message, ses objectifs, ses visées) se dégage en effet de la structure du texte et non l’inverse. Pour cela avoir une copie du texte sur papier permettra d’encadrer, de souligner mots et groupes de mots. Étudier le contexte du texte médité est un troisième outil. Ce contexte est le contexte immédiat (ce qui dans le texte biblique se situe juste avant ou après notre texte) ou le contexte lointain (situation dans l’ensemble du livre biblique). Évidemment, cet outil est plus utile quand on lit un texte isolé : la lecture en continu d’un livre biblique nous rend justement naturellement conscient du contexte.

Le recours à une concordance biblique (ce qui est plus aisé à une table qu’à l’oratoire !) permet de faire des rapprochements entre le texte médité et d’autres. Il se fait sur la base du vocabulaire : par exemple, en 1 S 26,12, le texte utilise le même mot (« torpeur ») qu’en Gn 2,21 ou Gn 15,12. Ces rapprochements n’aboutiront d’ailleurs pas toujours sur quelque chose de pertinent ni de suggestif. Dans le maniement de tous ces outils, les notes de nos Bibles sont souvent précieuses. Certains commentaires peuvent aider. Les Cahiers Évangile et certaines collections 4 sont tout à fait recommandables. Évidemment, il y a un équilibre à trouver entre lecture personnelle de l’Écriture et lecture des commentaires. Ces derniers ne doivent pas faire écran avec le texte biblique, ce qui serait dévoyer la lectio de ses objectifs mais ils peuvent parfois stimuler la lectio : leur lecture peut alors être appréciée comme un détour fécond.

On ne craindra pas de consacrer du temps sur cette phase de « lecture », qui on le voit n’est pas simplement l’acte de lire une fois voire plusieurs fois un texte. Un autre écueil serait bien sûr de rester à cette étape. Toutes les dimensions que comporte le qualificatif divina ne seraient pas alors exploitées…

L’interprétation par la méditation. Ce que me dit le texte.

La première étape consistait à travailler le texte pour l’accueillir tel qu’il est, avec toutes ses richesses, ce qu’une première lecture ne laisse pas toujours soupçonner. La deuxième étape consiste en un travail sur soi à partir du texte. Cette phase appelée classiquement « méditation » (meditatio) est donc davantage subjective. Il s’agit de se laisser interpeller par le texte, de l’écouter en profondeur. Il s’agit d’accueillir ce que le texte, avec toute son épaisseur – que la première étape nous a permis de mesurer – touche en moi, c’est-à-dire en tout ce que je porte : ce qu’il vient rejoindre d’heureux ou de malheureux (mes insatisfactions, mes cris, mes questions), ce qu’il vient conforter, confirmer ou au contraire déranger voire remettre en question. F. Cassingena écrit ainsi dans le Journal de sa vie marquée par l’expérience de la lectio divina :

Transversalité de la Parole : la pagina sacra n’est pas une surface que l’on considère de l’extérieur mais de par son intention même, elle devient l’intercalaire de notre cœur. Cependant que nous avons l’impression de la regarder, elle nous regarde, au point de nous irradier et de faire, pour ainsi dire, notre radioscopie complète. Lire, ici, c’est en réalité être lu 5.

Cette démarche n’est ni volontariste ni moralisante : il s’agit plutôt de demeurer dans la Parole, de la laisser résonner en profondeur, de tendre les voiles à l’Esprit. Cette phase relève du travail spirituel, que suggère l’image du labourage ou de la recherche. « Que me dis-tu Seigneur ? », « Qu’est-ce que cela signifie ? ». Il peut être bon aussi de s’attarder sur ce que je ne comprends pas dans le texte, sur ce à quoi je serais tenté de ne pas prêter attention.

Cette phase de recherche et d’interprétation pourra être stimulée par l’esprit du midrash juif 6. Il s’agit en quelque sorte de faire jouer entre eux, le texte de la Bible que nous lisons, le texte de notre vie et le Verbe fait chair – la Parole – qu’est le Christ Jésus, en y associant pour cela d’autres textes variés (autres textes bibliques et évangéliques, textes spirituels, épisodes de notre vie, expérience vécue) selon des critères plus libres – et donc plus fragiles – que ceux de la simple exégèse. Logique de l’association ou de la répétition, logique de la « danse » qui joue avec les mots, les symboles, les personnages et tout leur poids d’expérience humaine et spirituelle. Selon une lecture classique de Ex 17,1-7, c’est ainsi que l’eau (du sens) jaillit du rocher (du texte). Il est certain que pour ne pas tomber dans la pure fantaisie, cette manière de faire se vérifiera à la longue par les fruits qu’elle donne.

Terminons par quelques conseils concernant cette phase de méditation. Comme tout travail, elle comporte des efforts qui n’aboutissent pas et des pistes qui s’avèrent des impasses. Il s’agit de redire l’importance de la gratuité avec tout ce qu’elle comporte de temps donné, de pertes consenties et de confiance offerte. Il ne s’agit pas par ailleurs de vouloir faire son miel de tout le texte.

Permettons-nous de citer cette phrase de saint Ignace : « ce n’est pas d’en savoir beaucoup qui rassasie l’âme mais de goûter les choses intérieurement 7. » Autant la phase de lecture se doit d’appréhender le texte le plus largement possible, autant celle de la méditation pourra se contenter de quelques aspects du texte. Néanmoins, là aussi, un peu de recul et une reprise de son expérience permettra d’apprécier la justesse de ces aspects choisis : il ne faudra pas s’habituer à se nourrir uniquement des marges de l’Écriture ! Enfin, dernier conseil, noter quelques versets ou remarques pourra être utile à certains qui aimeront les retrouver au cours de la journée, durant l’oraison ou au travail ou les jours suivants.

L’accomplissement qu’est la prière. Ce que me fait dire le texte.

La méditation conduit à la prière (oratio), troisième phase de la lectio telle que nous la présentons ici. Après le travail du texte et le travail sur soi par le texte, elle est un travail avec le texte. Elle correspond à une phase plus passive : après la lecture et l’interprétation du texte, elle est de l’ordre de l’accomplissement du texte dans ma vie. Elle correspond aux « Aujourd’hui » de la liturgie. Souvenons-nous de la scène de Lc 4,20-21 où Jésus après avoir lu un texte d’Isaïe et replié le rouleau dit : « Aujourd’hui s’accomplit à vos oreilles ce passage de l’Écriture. » Cette partie intime mais essentielle de la lectio divina est celle qui se laisse sans doute la moins décrire. C’est celle aussi où toutes les méthodes de prière se rejoignent car l’expérience de la prière est, en son fond, une. Silence en présence du Seigneur : on pourra demeurer dans telle ou telle attitude spirituelle rencontrée durant les étapes précédentes. Dialogue avec le Bien-Aimé : on pourra prendre les mots rencontrés précédemment. Offrande de tout ce qui a été « remué » dans le texte et dans son cœur pour que l’Esprit l’embrase. L’image de la biche, qui pour se désaltérer tour à tour baisse et redresse la tête du torrent, illustre bien cela. On pourra présenter au Seigneur les fruits de sa lectio, ses peines et ses joies et surtout lui donner notre foi, notre espérance et notre charité. Toute prière est, en son fond, théologale.

Ce que Guigues le Chartreux appelle contemplatio est la suite indue de cela : don gratuit du Seigneur, rare, toujours surprenant mais ne laissant pas indemne ! Notons que ces expériences ne s’oublient guère et que l’on peut ainsi les associer à tel texte de l’Écriture. Ainsi se complètent les notes de notre Bible personnelle, au gré de la grâce…

Soigner les alentours

Avancer sur le chemin de la lectio ne se cantonne pas à soigner un simple exercice spirituel, mais demande de prêter attention à divers facteurs, qui en amont ou en aval peuvent favoriser notre expérience de la lectio divina. Citons en deux. D’une part, on cherchera à faire grandir notre amour de l’Écriture et notre foi en elle. Pour ce faire, les lectures théologiques et exégétiques seront bienvenues. Mais des moyens indirects peuvent y contribuer aussi, comme fréquenter certaines œuvres culturelles souvent marquées par l’Écriture. D’autre part, on veillera à articuler notre pratique de la lectio avec les autres éléments de notre vie humaine et spirituelle : bien sûr pour un lectorat carmélitain, la pratique de l’oraison silencieuse mais aussi la liturgie avec laquelle la lectio a de grandes affinités et l’accompagnement spirituel où il est question là aussi d’écouter en profondeur la Parole. Finalement toute notre vie est appelée à être lectio divina : une écoute de la Parole qui nous transforme et à laquelle nous répondons dans l’offrande et la louange.

Frère Guillaume DEHORTER, o.c.d., Avon. Revue Carmel n° 129, septembre 2008, pp. 49-57.

1. E. BIANCHI, Prier la Parole. Une introduction à la lectio divina, (coll. « Vie monastique » n° 15), Bégrolles en Mauges, Abbaye de Bellefontaine, 1983 ; f. CASSINGENA- TREVEDY, Quand la Parole prend feu. Propos sur la lectio divina, (coll. « Vie monastique » n°36), Bégrolles en Mauges, Abbaye de Bellefontaine, 1999 ; G. M. OURY, Chercher Dieu dans sa Parole, Chambray-les-Tours, C.L.D., 1982.

2. Œuvres complètes, Éditions du Cerf, Paris, 1990, p. 286.

3. P. Nouzille précise cependant qu’au cours de l’histoire, où les bibles étaient rares, la lectio divina ne consistait pas nécessairement en la lecture d’un texte mais dans l’accueil d’une parole, par exemple au cours de la liturgie. Cf. P. NOUZILLE, La Bible dans la « Lectio divina », dans J-L. SOULETIE et H. J, CAGEY (dir), La Bible, parole adressée, (coll. « Lectio Divina », 183), Paris. Cerf, 2001, p. 110. Mais nous nous plaçons ici dans le cadre déjà précisé d’une lecture au sens strict.

4. Par exemple la collection d’initiation « Lire la Bible » aux Éditions du Cerf, plus simple et donc plus utile dans un premier abord que la collection « Lectio divina » dont de nombreux numéros pourront néanmoins approfondir notre lecture biblique.

5. F. CASSINGENA- TREVEDY, Étincelles II 2003-2005, Genève, Ad solem, 2007, p. 32.

6. F. CASSINGENA- TREVEDY, op. cit., p. 37s.

7. Exercices spirituels, n° 2.