Résonnances bibliques des oraisons du missel

Je vous invite à télécharger ce nouvel-e-book sur mon site personnel . Nul doute que vous serez surpris du contenu.

Lorsque nous participons à la célébration de l’eucharistie dominicale, nous entendons souvent d’une oreille distraite la prière d’ouverture tirée du missel, qui précède la liturgie de la Parole.

Ces « oraisons » d’ouverture de la célébration, appelées autrefois « collectes », nous sont données par l’Église à travers le missel romain. Elles nous viennent du fond des âges de l’Église (seconde partie du premier millénaire). Elles ont gardé intacts leur éclat ainsi que le souffle qui les a fait naître. Un moine de l’Abbaye de Solesmes, le P. Patrick Hala, a donné un commentaire de ces « collectes » en plusieurs petits volumes[1]. En prenant ses publications pour appui, je propose de vous faire découvrir ces oraisons d’ouverture de la messe.

J’ai choisi un angle particulier : celui de laisser résonner la saveur biblique de ces prières, en y retrouvant certains versets de la Bible qui les nourrissent et les sous-tendent.

Voici donc le livret n° 3, qui présente les oraisons du « temps dans l’année », pour les dimanches 1 à 34 de ce temps ordinaire.[2]Vous avez ici à votre disposition de quoi faire quotidiennement de magnifiques méditations, à travers ces oraisons qui s’enracinent dans plus de seize siècles de liturgie de l’Église…

J’ai choisi l’outil informatique pour vous communiquer ce travail, et vous pourrez télécharger ce livret sur vos ordinateurs, tablettes ou smartphones plutôt que de l’imprimer. Merci aussi de le communiquer à d’autres par mail.

D’autres livrets suivront; le prochain sur les oraisons du temps de l’Avent vous sera proposé fin novembre. Celui-ci est utilisable dès maintenant.

Bonnes méditations !

Notes

[1]Patrick Hala, o.s.b., Habeamus gratiam, commentaire des collectes du Temps ordinaire, Éditions de Solesmes, 2007

[2]Ce livret pourrait être d’ailleurs d’une certaine utilité pour les personnes qui participent à la messe en semaine. Pourquoi ne pas faire correspondre les numéros des formulaires (1 à 34) avec les chiffres des jours du mois ? C’est personnellement la façon dont je procède en célébrant chaque jour. Mais le célébrant reste libre d’utiliser, dans les semaines du temps ordinaire, les oraisons qu’il veut.